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En Vedette

Empathie nous laisse sur cette scène coup de poing

Alerte aux divulgacheurs: Si vous n'avez pas vue le plus récent épisode d'Empathie, arrêtez votre lecture ici! 

On ne pouvait pas imaginer une finale plus bouleversante pour la série Empathie. L'épisode nous laisse suspendus à une scène d’une poignante humanité, alors que Suzanne (Florence Longpré), Mortimer (Thomas Ngijol)  et sa mère (Malube Uhindu-Gingala), gravement blessée après avoir déboulé les escaliers, courent dans la rue pour rejoindre l’hôpital.

Une scène tellement touchante de vérité et d’impuissance. 

Un nouveau personnage fait son arrivée lors de la finale, Laure Sirois, joué par Charlotte Aubin, une psychologue et fille de Théodore (Denis Bernard). Lors d’un 5 à 7 entre collègues, elle attire le regard de Suzanne. Mortimer le sent et quitte brusquement.

Il revient à la maison pour retrouver sa mère en pleine crise. Et puis vient cette scène intense et inattendue: la chute dans les escaliers, le déplacement vers l'hôpital.

Suzanne, Mortimer et sa mère dans la rue, au pas de course, à la recherche de soins, d’un peu d’air, d’un répit. Une fin boulversante qui laisse présager une deuxième saison. 

Une évolution marquante pour Suzanne

Dès les premières minutes de l’épisode, le ton est donné avec le dévoilement bouleversant du passé d’Évelyne (Marie-Ève Morency), qui raconte que sa fille de 14 ans s’est enlevé la vie. Cet aveu rapproche Suzanne et Évelyne qui se sont rencontré dans une réunion de AA. 

L'épisode met aussi en lumière une réconciliation douce entre Suzanne et sa mère, qui a fait un pas vers elle pour adourcir leur relation. Guylène (Linda Malo) rassure sa fille en lien avec la mort de sa conjointe, elle réussit à allumer l'étincelle: 

«Anna s’est étouffée. C’est tout! Il faut que tu laisses aller ta peine et tes remords. Ça veut pas dire d’oublier. Tu as perdu assez de temps à te punir, saute dans ta vie à pieds joints, ma fille.»

Il faut que tu laisses aller ta peine et tes remords. Ça veut pas dire d’oublier.

La suite de la scène apporte beaucoup de légerté dans l'émission. Ce moment éveille chez Suzanne un besoin urgent de vivre, de ressentir. Elle va retrouver Mortimer, et elle va s’occuper de sa mère avec une douceur désarmante, et va insuffler un vent de fraîcheur à son environnement de travail.

L'institut Mont-Royal en transformation

Dans ce dernier épisode, on sent que quelque chose change entre les murs de l'Institut Mont-Royal. Les employés s’ouvrent, les résidents rient, et même M. Koskov (Igor Ovadis) sort de sa chambre pour chercher de la soupe, inquiet pour M. Dallaire (Benoît Brière). Une belle amitié naît entre ces deux hommes brisés, comme un rayon d'espoir sincère.

Valérie, entre lumière et ténèbres

L’état mental de Valérie (Justine Prévost) se complexifie: en pleine crise, elle semble vivre un trouble dissociatif de l'identité. Elle tente même de s’attaquer à Suzanne, en hurlant: «Je ne connais pas de Valérie» avant de foncer sur elle. 

Charles Villeneuve, le monstre sous le masque

Le personnage de Charles (Jean-François Nadeau) se révèle sous un angle encore plus psychopate. Ancien comptable fortuné, on découvre qu'il a assassiné sa conjointe de sang-froid, sans remords.

Son comportement contrôlant, son narcissisme et sa condescendance s’illustrent parfaitement lorsqu’il réprimande Mortimer:

«Je n’aime pas du tout votre nouvelle façon de vous adresser à vos patients. On n'a pas élevé les cochons ensemble. Vous allez me vouvoyer et m'appeler par mon nom de famille.»

On n'a pas élevé les cochons ensemble. Vous allez me vouvoyer et m'appeler par mon nom de famille.

L'histoire d’amour tragique de M. Dallaire

On découvre que M. Dallaire vit une relation interdite et complexe avec sa conjointe, qu’il croyait être sa sœur. Elle lui avait fait croire cela pour fuir la honte d’aimer un homme interné. Mais son amour pour lui reste grandissant: 

«J’ai essayé de te couper de ma vie Jacques. Pis je t’ai fait accroire que tu étais mon frère, pour essayer d’être normale, pour pas être celle qui aime un fou et qui a faite un petit avec son frère adoptif. J’ai pas été capable. Je ne peux pas vivre sans toi, Jacques, tu es ma moitié, même si c’est dur de t’aimer et que j’ai honte.»

Elle dépose une graine d’espoir en lui, l’encourageant à sortir du centre pour rencontrer leur fils, Paul.

Les fans seront heureux d'apprendre qu'il y aura une deuxième saison de l'émission la plus populaire de Crave.

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