Je m’appelle Annie, je suis une productrice au contenu de 36 ans et avec la série Injections et bistouris je suis entrée pour la première fois dans le monde des soins et de la chirurgie esthétique.
Honnêtement, j’avais des préjugés et je dois avouer qu’ils ont été démolis un à un durant les six mois de tournage de l’émission. Voici donc ce que j'ai appris de cette immersion dans le monde de la médecine esthétique.
1. Les soins et chirurgies sont pour tout le monde
C’est fascinant combien la clientèle est vaste en esthétisme. Oui, il y a des femmes qui vont un peu loin, mais la grande majorité des patients, c’est vous et moi.
Des mamans qui aimeraient avoir l’air un peu moins fatiguées, ou retrouver leur corps d’avant. Des femmes qui ont détesté leur poitrine toute leur vie et qui veulent de petits implants pour simplement garder leur haut de bikini en place. Des dames âgées qui ne refusent pas de vieillir, mais qui veulent le faire de belle façon et même des hommes qui, eux aussi, veulent se sentir beaux encore un petit moment.
2. Un bon soin esthétique ne saute pas aux yeux
C’est vraiment la phrase que les spécialistes nous ont dite le plus souvent. Surtout Dre Blackburn, Asbar et Sylvestre qui travaillent avec des injectables. Elles veulent harmoniser les visages et refusent toute demande allant à l’encontre de leurs valeurs et de leur vision esthétique. Même chose pour Dr Arsenault, chirurgien à Québec, qui lui refuse de faire des « seins de cirque ».
Les chirurgiens [esthétiques] demeurent des médecins voulant le bien de leur patient avant tout.
3. Les chirurgiens esthétiques ont leur clientèle à coeur
Dr Sinno a décidé d’aller au privé pour avoir plus de temps avec ses patients. Au lieu d’en voir des dizaines par jour à l’hôpital, il a décidé d’avoir maximum cinq à sa clinique et de prendre le temps.
Dre Gaudreau, quant à elle, est une femme pleine d’empathie, sans aucun jugement, mais qui est capable de dire non à une femme voulant aller trop loin. Elle dit aussi non à de l’argent de plus, pour le bien de sa patiente.
Dr Arsenault refuse régulièrement des cas, quand il juge que la chirurgie n’est pas nécessaire. Les chirurgiens, même au privé, demeurent des médecins voulant le bien de leur patient avant tout.
C’est émotif, les soins esthétiques. L’équipe a eu le grand privilège d’être aux premières loges de vies qui changent. Les médecins et les patients ont été d’une générosité sans borne avec nous.
Voir dans les yeux d’une patiente qu’elle se trouve belle pour la première fois, c’est émouvant. Comprendre à quel point un monsieur se trouve beau en se regardant dans le miroir après ses traitements, c’est touchant. Voir le regard amoureux d’un conjoint dont la femme a subi une longue opération, ça rentre dans le cœur. En espérant que ces histoires vous toucheront aussi!
Vous désirez en savoir plus sur la médecine esthétique et ses pratiques? Découvrez l'émission Injections et bistouris sur Canal Vie qui lève le voile sur une industrie où les tabous sont nombreux.
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