LeJour de la Terre se célèbre chaque année le 22 avril. C’est l’occasion de se rappeler qu’on peut toutes et tous faire une réelle différence.
Il est impératif de réfléchir à notre impact sur l'environnement et choisir des gestes que l'on peut facilement poser afin de contribuer à la réduction de la pollution en tous genres.
Pour vous inspirer, voici 8 idées pour faire votre part, jour après jour.
Garderies, écoles du primaire et du secondaire, en famille ou en solo, faites votre part en effectuant une corvée de nettoyage dans votre quartier et faites parvenir une photo pour vous inscrire et participer au concours.
Bien sûr, au-delà de cette initiative de 1000 gestes pour la nature, vous pouvez tout au long de l’année effectuer des corvées de nettoyage dans votre municipalité.
Le simple fait de ramasser un déchet par jour, pendant votre marche quotidienne, peut faire une réelle différence. Imaginez si tout le monde fait comme vous.
On a parfois l’impression d’être impuissant et impuissante face à la disparité de certaines espèces, pourtant de petits gestes font une réelle différence.
Vous vous demandez comment y contribuer? Le Jour de la terre propose plusieurs idées sur son site, entre autres:
Installez une mangeoire, un nichoir ou un bain pour les oiseaux.
Plantez des fleurs riches en nectar pour favoriser la présence des pollinisateurs.
Laissez pousser votre pelouse plus longtemps au printemps pour laisser fleurir les fleurs sauvages, celles-ci offrent une ressource essentielle aux pollinisateurs.
Laissez les feuilles mortes au sol, ainsi elles peuvent abriter des insectes et de petits animaux en hiver. Elles enrichissent aussi le sol et favorisent la biodiversité.
Autant que possible, privilégiez la marche ou le vélo pour vos déplacements. C’est bénéfique pour votre santé, et celles de la planète.
D’autant plus que régulièrement le temps de déplacement n’est pas beaucoup plus grand, et c’est tellement plus agréable d’être à pied ou à vélo. Alors, pourquoi hésiter. Il suffit d’y penser et de modifier vos habitudes.
Le gaspillage alimentaire est une réelle problématique à travers le monde. Au Canada, 58% de la nourriture est jetée tout au long de la chaine alimentaire. Pourtant, la production alimentaire demande énormément d’énergie et pollue également, entre autres, lors du transport.
Évidemment, il est essentiel de se nourrir, mais il faut prendre conscience de toute la chaine de production et éviter de jeter semaine après semaine de la nourriture. Préparez des soupes ou des touskis, congelez, conservez. Les astuces sont nombreuses pour éviter le gaspillage alimentaire.
La planète vous en remerciera, ainsi que votre portefeuille.
Nul besoin de se lancer dans une grande production. Moins, c’est souvent mieux. Le simple fait de voir pousser vos propres légumes, et de les consommer frais fait une différence pour la planète, mais aussi dans la conscience que vous portez à toute la chaine d’approvisionnement.
Recycler, consigner et composter
Le plus important est de diminuer votre consommation à la source, ainsi vous produirez moins de déchet.
Lorsque les efforts ont été faits à ce niveau, recyclez ou consignez tout ce qui peut l’être, et compostez les résidus de table. Vous verrez, il ne restera plus grand-chose dans vos poubelles.
Un geste à la fois, sans même vous en rendre compte, vous tendrez tranquillement vers le zéro déchet.
Privilégier les achats de seconde main
Les achats de seconde main, en plus de vous faire économiser énormément, contribuent au bien-être de la planète.
En étirant la durée de vie de vos biens, vous avez un impact direct sur la pollution qui est associée à la production de ceux-ci.
Ce sont souvent de simples et nouvelles habitudes à prendre: consulter les plateformes de revente lorsqu’on a besoin d’un nouveau meuble, ou prendre le temps d’aller voir tout ce qu'on peut trouver dans les magasins de vêtements de seconde main.
Réfléchir à son empreinte carbone associée au numérique
L’univers numérique est dorénavant imbriqué dans notre vie et on oublie souvent que celui-ci a un impact majeur sur la consommation d’énergie, la consommation d’eau, l’utilisation du territoire et sur la vie marine, comme le rappelle la Fondation David Suzuki.
Pour minimiser votre empreinte écologique liée au numérique, prenez le temps de faire le ménage dans vos espaces digitaux, comme par exemple les serveurs infonuagiques que vous utilisez, ainsi que vos boites de courriels.
Supprimez tout ce qui n’est pas nécessaire, ou stockez sur des disques durs externes. Conservez seulement les courriels récents ou nécessaires et désabonnez-vous des infolettres que vous ne lisez pas.
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