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Sophie Thibault nous charme dans le plus récent numéro du 7 Jours, elle qui y apparait avec son magnifique sourire, en couverture.
La cheffe d’antenne qui livrera son dernier bulletin de nouvelles le 19 juin prochain a effectivement offert une entrevue à Nathalie Slight dans le plus récent numéro du magazine.
Celle qui a fait un bac en psychologie s’y confie sur sa carrière, elle qui a d’ailleurs expliqué n’avoir pas eu l’appel du journalisme dès son plus jeune âge, et ce malgré un père qui était directeur de l’information à Radio-Canada et une mère qui était journaliste.
Outre son parcours et ses premières classes dans le monde des médias, Sophie Thibault aborde son premier bulletin de nouvelles, animé en 1990, alors que la crise d’Oka battait son plein.
Avec transparence, elle raconte avoir été très nerveuse, elle qui faisait même de l’hyperventilation lors de ses premiers moments devant la caméra.
C’est touchant de découvrir une femme humaine, qui aborde avec franchise sa nervosité, son manque de confiance en elle et ses premiers pas bien stressant dans le milieu. D’autant plus touchant qu’aujourd’hui, à l’aube de sa retraite, on la sent complètement en contrôle.
Lors de son entrevue avec le magazine 7 jours, elle a aussi parlé des moments marquants de sa carrière comme le 11 septembre 2001 alors que même en congé, elle a déboulé dans la salle de nouvelles pour offrir son aide. Ou la pandémie.
Pour Sophie Thibault, ce qui l’attend dès le 20 juin, ce n’est pas la retraite, c’est le début d’autre chose. Elle compte prendre le temps de se déposer et sera certainement fort occupée avec la photo, une passion qui l’habite depuis un moment déjà.
Elle prévoit d’ailleurs un voyage aux îles Galapagos, un rêve qu’elle chérit depuis longtemps, durant lequel elle photographiera certainement les tories de 150 ans!
Pour lire l’entrevue complète, c’est par ici.
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