Mélissa Bédard: voici comment se déroule sa rentrée avec 5 enfants de la 1ère année à l'université

«J’aime qu’ils soient à l’école, mais j’aime aussi notre routine de l’été. De justement, pouvoir prendre le temps le matin avec eux et ne pas les rusher», mentionne-t-elle.

Des niveaux scolaires différents 

Parmi les 7 enfants de la famille Bédard-Fortier, ce sont 5 d’entre eux qui retourneront sur les bancs d’école dans quelques jours. 

Serena et Elena commencent respectivement la première année et la quatrième année. Laylia et Emeric (l’un des fils de Karl) continuent leur parcours à l’école secondaire. Finalement, le fils aîné de Karl, Anthony, est inscrit à l’université. 

Alexandre (le deuxième fils de Karl) travaille, alors que bébé Aaron restera avec ses parents. 

«Ça bouge beaucoup, ce sont de grosses journées pour aller chercher le tout [...] L’année passée, c’était la première fois qu'on avait des autobus pour quelques-uns. Sinon, c’est vraiment Karl qui va faire la run. Les gars sont quand même très autonomes», lance Mélissa. 

L’achat des fournitures scolaires

C’est un vrai casse-tête d’acheter les fournitures scolaires des enfants de Mélissa et de Karl sachant qu’ils vont tous à des écoles différentes et à des niveaux différents. 

Selon une récente étude commandée par l’application de gestion financière destinée aux enfants et aux adolescents Mydoh, 81% des parents canadiens se disent nerveux à l'approche de la période de magasinage de la rentrée scolaire.

Pour éviter ce stress, Mélissa conseille de trouver des façons d’économiser durant les achats de fournitures scolaires. Elle a notamment l’habitude de se faire une liste avec tous les effets scolaires qui sont nécessaires et de regarder les prix dans différents magasins. 

«Il ne faut pas se dire qu’on va faire un seul magasin et qu’on va tout pogné là. Si ton but est d’économiser, ça va souvent prendre plus qu’un seul magasin. Il faut vraiment partir avec une liste», indique la maman.

Chaque année, elle donne à ses enfants la possibilité de se choisir un seul nouvel item pour le début de leur année scolaire. Cette année, ils ont tous une nouvelle paire de souliers. 

«Comme ça, il n’y a pas de négociation quand je vais magasiner pour les effets scolaires. Ils savent déjà c’est quoi leur [item] spécial de cette année», affirme-t-elle. 

D’ailleurs, l’étude de Mydoh a révélé que 60% des parents «affirment que leurs enfants comprennent les réalités financières, mais que celles-ci sont rapidement oubliées une fois dans le magasin».

Des coûts importants 

Mélissa essaye toujours de se donner un budget autour de 400 à 500 dollars pour l’achat des fournitures scolaires de ses enfants. 

«C’est pour ça que j’essaie de faire le plus de magasins possible pour ne pas buster ça. Ça a marché cette année, ça n’a pas été si pire», admet-elle. 

L’application Mydoh peut d’ailleurs être une bonne façon pour faire comprendre aux enfants les dépenses liées à la rentrée. 

Porte-parole depuis deux ans de cet outil de gestion financière, Mélissa raconte qu’elle utilise beaucoup l’application avec ses filles, notamment avec Laylia. 

À partir de Mydoh, Laylia a pu faire sa propre carte prépayée qu’elle utilise désormais pour faire ses achats. C’est aussi pratique pour elle lorsqu’elle veut manger à la cafétéria de l’école.

Sur l’application, les enfants peuvent voir leurs pertes et leurs gains, suivre leur liste de tâches quotidiennes et recevoir de l’argent de leurs parents ou autres proches.

«Jusqu’à 16 ans, c’est super parce que ça développe l’autonomie et tu la laisses voler de ses propres ailes», avance Mélissa. 

Pour en savoir plus sur Mydoh, rendez-vous sur le site Internet de l’application. 

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