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Événements

Voici tout ce qu’on a pu voir dans les coulisses d’Osheaga 2025

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Le festival Osheaga a fait vibrer le parc Jean-Drapeau, toute la fin de semaine, avec ses 142 000 festivaliers en trois jours. L’équipe du Noovo Moi a eu un accès exclusif aux coulisses de ce grand rendez-vous d’été et voici ce que vous ne savez pas sur l’événement. 

Une offre gourmande qui demande une grande logistique

Osheaga ne présente pas qu’une variété de spectacles, mais aussi une variété de restaurants. Il est carrément possible d’y vivre une expérience culinaire. Proposant une offre deux fois plus grande cette année, les défis étaient grands pour les organisateurs.

En entrevue, la gestionnaire principale du marketing hospitalité chez Evenko, Marie-Claude Dumas, nous le confirme: «On arrive au parc Jean-Drapeau et c’est un terrain de jeu et c’est à nous de tout monter, de partir à zéro: les installations, les tentes, coordonner l’arrivée des restaurateurs, des food trucks, l’électricité, plein de choses auxquels les gens ne peuvent pas penser.» En outre, l’équipe doit s’assurer de respecter les règles de la MAPAQ et du service de sécurité incendie. 

Du côté des restaurateurs, c’est une grande gestion également, notamment sur la prévision des quantités des aliments. On a pu parler à Amine Laabi du resto Loumi. Pour s’organiser, le chef avoue que: «C’est de la loterie. Faut vraiment estimer un nombre d’items qu’on veut vendre, faut rester assez petit sur le menu, parce que ça va extrêmement vite.» Quant au propriétaire de Pan American Pizza, Danny St-Pierre, il prévoyait vendre 5000 pizzas au cours de la fin de semaine, lors de notre entretien vendredi dernier: « Un festivalier, ça n'a pas 20 minutes pour attendre après une pizza. Fait que c’est de faire des pizzas d’avance, mais de les garder fraîches. C’est ça le vrai défi, mais ça se fait bien.» 

Se faire masser à Osheaga?

Durant notre fin de semaine, notre visite des différentes zones privilèges offertes sur le site nous a fait rêver! Ce seront aussi ces espaces qui garniront le terrain de ÎLESONIQ en fin de semaine et de Lasso Montréal.

En compagnie de la vice-présidente, commercialisation et gestion des festivals chez Evenko, Mélissa Giampaolo, on a pu faire le tour des terrasses Festive, Or et Platine! C’est d’ailleurs cette dernière qui a attiré davantage notre attention. En effet, sur la terrasse Platine, il est possible de se faire masser pendant les spectacles. Parmi les nombreux avantages qu’offre la luxueuse terrasse, les festivaliers peuvent aussi profiter d’un service de maquillage à l’espace beauté ou tout simplement se faire offrir quelques retouches lors des chaudes journées. N’est-ce pas l’occasion de se sentir comme une grande célérité? Voyez les images des différentes zones plus bas. 

Un tremplin pour les artistes

Il n’y a pas que des vedettes internationales qui se produisent sur les différentes scènes d’Osheaga. On a eu la chance de rencontrer la jeune DJ Montréalaise Tallandskiinny qui vivait son plus gros spectacle en carrière vendredi dernier. Expérience qu’elle compare à l’obtention d’un diplôme: «J’y allais à toutes les éditions (de Osheaga) et à chaque fois, je me disais: ‘’L'année prochaine, l'année prochaine.’’ Puis, l'année passée, c'était vrai.» Diana, de son vrai nom, prévoit sortir son premier EP d’ici la fin de l’année après plus de trois ans de travail.

Par ailleurs le DJ et compositeur belge, Lost Frequencies, était aussi de passage sur l’île Sainte-Hélène. Lors de notre discussion, Félix ne s’est pas gêné pour dire ce qu’il pensait des Québécois: «Les gens je trouve, ils sont très accueillants. Ils perçoivent la musique de façon un peu différente de quand je tourne dans le reste du monde. C'est vraiment super chouette, le soutien que j'ai quand je viens ici.»

Lors de son spectacle, il a profité de sa tribune pour promouvoir sa nouvelle chanson qui sortira à la mi-août. Une collaboration avec le DJ ArgyVoyez notre entrevue ci-dessus.

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