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Avec son édition spéciale du 29 novembre dernier, La Fureur a prouvé une chose: même après toutes ces années, le concept n’a RIEN perdu de sa magie!
L’émission a ramené l’énergie, la nostalgie et l’esprit festif qui ont fait son succès jadis… et honnêtement, on aurait pu rester devant le téléviseur toute la soirée!
Voici 5 éléments clés à retenir de ce retour qui a fait vibrer tout le Québec!
Dès les premières minutes, on avait l’impression de revenir à l’époque où les samedis se transformaient en party musical! Les jeux classiques (chanson arrêtée, questionnaires musicaux, face-à-face endiablés) étaient toujours là, mais présentés avec un souffle nouveau! La production a gardé le cœur du concept, tout en modernisant la mise en scène, les jeux de lumière et le rythme pour donner un show beaucoup plus punché. Résultat: la nostalgie était au rendez-vous, mais sans que l’émission ait l’air figée dans le temps!
On le sait: les compétitions de La Fureur sont toujours épiques! Cette fois, l’équipe des Filles, menée par une Élyse Marquis en pleine forme (en FEU, on devrait plutôt dire!), n’a laissé aucun espace aux gars. Le pointage final, 23 à 13, parle de lui-même! Mais surtout: un des moments les plus amusants de l’émission, avec un esprit de compétition enjoué, de la bonne humeur contagieuse et quelques petites piques bien senties. Bref, La Fureur comme on l’aime! Mention à la recrue Fabiola Nyrva Aladin qui a été l'étoile de la soirée et qui a fait gagner plusieurs points précieux à son équipe!
Cette édition spéciale de La Fureur a livré plusieurs moments musicaux qui ont marqué la soirée et pas seulement par la nostalgie!
D’abord, impossible d’ignorer l’une des grandes révélations de l’année: Lou-Adriane Cassidy, qui a tout raflé à l’ADISQ en novembre dernier. L’artiste est montée sur scène pour interpréter son hit Dis-moi, dis-moi, dis-moi: un moment fort, à la fois moderne et ancré dans l’actualité musicale québécoise, qui a montré à quel point l’émission réussit à rassembler les générations!
Et comme si ce n’était pas suffisant, La Fureur a aussi réservé un clin d’œil irrésistible aux années 2000: le trio Infini-T est réapparu… 25 ans plus tard. Leur présence a déclenché une vague de souvenirs chez tous ceux qui avaient suivi leurs débuts à l’époque de l’émission originale. Un retour inattendu qui a créé l’un des moments les plus commentés de la soirée!!!
Ajoutons à cela la présence de Martine St-Clair, venue revisiter ses classiques devant un public en feu et on obtient une brochette de performances qui résument parfaitement l’esprit de La Fureur!
Il faut le dire: La Fureur, sans Véronique Cloutier, ce ne serait pas La Fureur! Encore une fois, elle a animé avec son aisance habituelle, une énergie hors du commun et un sens du timing parfait! Véro connaît toutes les ficelles du show, elle en maîtrise le rythme, le sens du spectacle et elle sait quand intervenir et ça paraît!
Sur le plateau, Véronique Cloutier est apparue dans une somptueuse robe bustier noire en tulle et organza. Une pièce statement qui a immédiatement suscité une vague de réactions sur les réseaux sociaux!
Même si l’édition 2025 a fait exploser les réactions positives, Véronique Cloutier a tenu à être claire: La Fureur ne redeviendra pas un rendez-vous hebdomadaire comme à l’époque.
« Je pense que La Fureur en hebdo, ce n'est plus viable parce qu'on n'a plus tous les mêmes référents », expliquait-elle en coulisses. Aujourd’hui, chacun consomme la musique et la culture à sa façon, dans des écosystèmes complètement différents: plateformes, réseaux sociaux, playlists, tendances éclairs… difficile de rallier tout le monde autour des mêmes chansons!
« Maintenant, il y a trop de manières de consommer notre musique, notre culture. C'est trop difficile de rassembler tout le monde autour d'un même sujet. Juste à regarder l'ADISQ, les 10 chansons de l'année, il y a beaucoup de gens qui en connaissent une, deux, peut-être. On n'a plus les mêmes référents… », a-t-elle réitéré.
Elle ajoute qu’en ramenant l’émission une seule fois par année, on préserve sa magie: « Quand on ramène le show une fois par année, premièrement, c'est comme un bijou dans un écrin. Tu le sors juste pour les occasions spéciales. Puis aussi, on reste dans la nostalgie. Cette année, [...] on va être dans la nostalgie encore. On a très peu de succès actuels. Il y en a, mais un peu. »
L'édition 2025 a réveillé l’enthousiasme du public, mais La Fureur va rester un rendez-vous précieux, rare et volontairement spécial... et c’est peut-être ce qui lui permet de conserver toute sa force aujourd’hui!
Pssssst! Mention aux guerrières de la K-pop, Phil Roy, Félix-Antoine Tremblay et Bryan Audet qui ont entonné fièrement (et tout en chorégraphie!) le hit Briller de KPop Demon Hunters!
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