Maripier Morin et Jean-Philippe Perras forment assurément l’un des couples préférés du Québec! Tous les deux ont de nombreux projets dont Jean-Philippe qui tourne actuellement pour la nouvelle série de Crave, Dérive. Cependant, il faut croire qu’il restait encore de la place dans l’agenda des amoureux puisqu'ils sont en pleine construction d'une maison bigénérationnelle. Voici les dernières nouvelles de leur chantier.
Présentée à l’hiver 2026, l’émission Les Morin-Perras sous le même toit nous amène dans la construction de la nouvelle maison qui accueillera le couple et leurs deux enfants, ainsi que les parents de Jean-Philippe, Claudette et Léonce. Ces derniers habitent d’ailleurs déjà chez les vedettes en entendant que la maison soit prête.
Il s'agit d'un premier test notamment pour Maripier qui n’avait jamais habité avec ses beaux-parents. Le comédien nous assure que ça fait le bonheur de tous: «On l’avait déjà fait pendant 3 mois pour d’autres raisons un peu plus tôt, mais là on replonge. Mes enfants sont tellement heureux, puis nous autres aussi. Le temps passe vite. Mes parents ont 70 ans, on ne le sait jamais ce qui peut se passer. Fait qu’on en profite, puis c’est un beau cadeau collectivement qu’on se fait de faire ça.
Un beau cadeau qui se déroule bien selon ses dires: «On a une super équipe qui s’occupe du projet. Ça avance comme il faut, puis ça va être prêt à un moment donné, on va avoir une maison.»
Un duo encore plus fort
Plus tôt cet hiver, quand on avait demandé à Maripier comment elle envisageait de travailler avec son conjoint elle avait affirmé ceci: «On est très Ti-Gus et Ti-Mousse. J’aime tout ce qui est cher, tout ce qui n’est pas achetable, fait que je vais vouloir faire un palais pour les parents de Jean-Philippe, et mon chum va me dire qu’on n’a pas le budget, donc j’ai l’impression qu’il va y avoir du conflit.»
Sur le plateau de Dérive, il y a quelques jours, Jean-Philippe nous a cependant avoué que tout allait pour le mieux, mais: «Elle a eu des mauvaises surprises comme tout projet de rénos. Fait qu’elle a comme compris qu’il fallait mettre de l’eau dans son vin, puis s’adoucir un peu.» En riant, il ajoute: «Elle veut des trucs chers, puis je suis comme : ‘’Non! On s’en fout de ce rideau-là à ce prix-là!’’ Jusqu’à la mort on va s’obstiner là-dessus, mais bon!»
Quant à leur couple, celui qu’on pourra revoir dans Stat mentionne que cette idée de maison a eu un impact positif sur eux: «Je pense qu’on réussit à se trouver même que c’est ça qui est beau aussi. À travers ce projet-là, on ne se laissera pas, mais le couple je pense qu’il va être encore plus fort. La communication, c’est important. Il ne faut pas se lâcher.»
Assurément, il y aura des coups de marteaux, puisque c’est une émission de réno. Or l’animatrice d’OD Tentations au Soleil précise qu’il y a un but derrière ce projet: «Les boomers vont entrer à peu près tous dans les maisons de vieillesse en même temps. Les services, l’offre qu’il y a en ce moment, n’est pas adéquate pour accueillir tout ce monde-là. C’est très occidental de parker les aînés dans des maisons de retraite, alors que partout dans le monde, que ce soit en Amérique latine, que ce soit en Europe, dans les pays scandinaves, au Japon, ils habitent en intergénération avec les enfants, les petits-enfants. Fait que moi, j’avais envie d’aller poser des questions, de demander à des gens qui l’ont fait, à des gens d’autres cultures qui habitent à Montréal, qui vivent en intergénération.
Puis, aller poser des questions aussi aux différents paliers. J’ai le goût de creuser, d’aller demander au municipal, au fédéral, au provincial: “Qu’est-ce qu’on va faire?”, parce que ça ne fonctionnera pas. Il y a un mur qui s’en vient et on s’en va direct dedans, puis moi ça m’inquiète.»
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