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En Vedette

«Je suis très fière d’elle»: Caroline Néron révèle comment elle prépare sa fille pour ses rôles

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Le long-métrage Anna Kiri du réalisateur Francis Bordeleau prendra l’affiche le vendredi 26 septembre. Il met en vedette Catherine Brunet, Maxime De Cotret, Charlotte Aubin, Rosalie Bonenfant et la comédienne Caroline Néron. Lors du visionnement de presse, elle nous a dévoilé de quelle façon elle se préparait pour tous ses rôles et comment elle souhaitait aider sa fille dans sa carrière de comédienne. Voyez l’entrevue complète plus haut. 

Maman et...coach

À l’âge de 15 ans, Emmanuelle Gagné Néron peut compter sur les bons conseils de sa mère pour se perfectionner dans son jeu d’actrice. Caroline Néron tente d’épauler sa fille depuis son entrée dans le milieu. Or, elle avance qu’il est désormais plus difficile de la conseiller ou plutôt de la corriger qu’il y a quelques années puisque «l'orgueil embarque.» En outre, elle avoue être assez «tough» lorsqu’il s’agit d’une audition. C’est pourquoi celle qui incarne Claude Coupal dans Stat tient à ce que sa fille détienne son propre coach. Ayant elle-même eu le sien à 17 ans, elle mentionne: «J'avais un coach pour tout ce que je faisais. Toute ma vingtaine. Mon coach me suivait partout tous les week-ends. On répétait 10h de temps tous mes textes. Je trouve que c'est important pour ma fille aussi de connaître autre que sa mère.» Écoutez l'intégralité de son point de vue dans la vidéo ci-dessus.

Une préparation intense pour toutes ses interprétations

Même avec ses 30 années d’expérience, Néron continue de travailler d’arrache-pied pour ses nombreux personnages. C’est entre autres ce pour quoi elle perce tant l’écran dans le nouveau film Anna Kiri: «Je suis très disciplinée.», explique-t-elle en entrevue. Elle ajoute: «Avant même d'arriver sur le plateau, le jour que tu me remets mes textes, je commence à les réviser tous les jours.» La comédienne répète devant son miroir, malgré qu’il ne soit pas toujours évident de se regarder: «Je  trouve que ça fait partie du travail et c'est ce que j'essaie d'expliquer à ma fille, l’importance de regarder son travail [...] le public ne le regarde pas de la même façon que toi.», précise-t-elle. 

Une migraine après avoir joué dans Stat

Pas question de se donner à moitié lorsqu’on propose une nouvelle opportunité à la femme d’affaires. Elle fait d’ailleurs appel à l’un de ses amis pour l’aider dans ses changements capillaires. «Je veux y aller à fond.», et ce n’est pas peu dire quand on la regarde dans Stat depuis son enlèvement. Se qualifiant elle-même de «maganée», elle confie que c’est elle qui a voulu être aussi amochée à l’écran pour qu’on croit davantage à la triste réalité de son personnage. Caroline se donne tant dans son jeu qu’elle a «eu une migraine de la mort le lendemain» du tournage.

Par ailleurs, on lui a déjà reproché de trop se donner: «Des fois on va me dire ‘’Tu peux pleurer moins’', des fois j’ai la morve qui me coule partout dans le visage. Je n’ai pas vraiment de limite. […] Je ne veux juste pas, ne pas assez en donner.», déclare-t-elle complètement passionnée. 

Vous pourrez voir sa sublime performance, au cinéma dès vendredi, dans le film Anna Kiri

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