Dans un nouvel extrait à la fois bienveillant et éloquent, Debbie Lynch-White nous fait comprendre le poids des commentaires grossophobes, même les plus «banals», sur le quotidien d’une personne grosse; et les réactions concernant la vidéo fusent.
C’est dans le cadre de la 3e édition de la campagne La grossophobie, ça suffit!que l’extrait a été déposé sur le compte du Groupe équilibre dont la mission est notamment de créer des environnements inclusifs, valorisant la diversité corporelle.
On y voit Debbie Lynch-White dans différents moments du quotidien, faisant face à toute sortes de situations grossophobes qui passent souvent inaperçues pour les autres.
Elle permet tout en douceur de comprendre avec des exemples typiques les injustices vécues tous les jours, ce qui permet de devenir de meilleur.e.s allié.e.s.
Pesez sur le petit signe de «play» au centre de l'image ci-dessous pour écouter la vidéo.
Et c’est d’ailleurs ce qui ressort des commentaires sous la vidéo: les gens se disent touchés par cette initiative et cette mise en lumière des moments du quotidien qui peuvent devenir cauchemardesques. Tout ça sur un ton bienveillant et loin de la moralisation.
Ce n’est pas toujours évident: la grossophobie au quotidien
On associe souvent la grossophobie aux insultes directes ou au jugement facile. Pourtant, au quotidien, les personnes grosses font face à une multitude de situations qui, bien qu'anodines en apparence, sont profondément injustes et discriminatoires.
La 3e édition de la campagne La grossophobie, ça suffit! a pour but de nous éclairer sur ces aspects plus subtils et méconnus de cette discrimination systémique.
Après tout, pour devenir de meilleur.e.s allié.e.s, il faut d’abord prendre conscience de ces injustices.
Debbie Lynch-White aborde le thème des microagressions
Par ailleurs, dans un extrait déposée sur le compte Instagram du Groupe Équilibre, Debbie Lynch-White a discuté des microagressions du quotidien, elle qui a choisi d’embrasser le fait que ce n’est pas son corps le problème; mais bien l’environnement qui n’y est pas adapté.
Je rappelle que la campagneLa grossophobie, ça suffit!se déroule jusqu’au 31 octobre. Mais ce n’est que la porte d’entrée pour devenir des allié.e.s à l’année.
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