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En Vedette

Ally d'OD Martinique s'ouvre à Jay Du Temple sur sa transition et ses insécurités

Depuis son entrée dans les maisons, la belle Ally d'OD Martinique fait jaser!

Cette semaine, Ally est l'invitée de Jay Du Temple au balado Coeur à coeur avec Jay. L'animateur a abordé plusieurs sujets avec la jeune femme, notamment sa transition et ses insécurités avec les garçons. 

Ally se confie entre autres sur le processus de son opération qu'elle a vécu seule à Montréal pendant la pandémie. C'est Khate Lessard, ancienne candidate d'OD Afrique du Sud, qui l'a réconforté à quelques heures de sa chirurgie. Le tout s'est bien déroulé et cette étape, très importante pour elle, a changé sa vie. 

« La première semaine de convalescence chez-moi a été très difficile. […] La douleur était physique. Ça partait d’en dessous de mes seins jusqu’à la moitié de mes cuisses. J’avais de la misère à marcher. Après une semaine, du jour au lendemain, je me suis couchée le soir, je ne feelais pas. Je me suis levé le lendemain et j’allais vraiment mieux. Ça avait diminué de moitié. La semaine après, quand je suis arrivée chez-moi, je regrettais. […] Quand la douleur a passé, c’était correct. Je feelais que tout est beau. Quand les gens me demandent comment je me suis senti en me réveillant de ma chirurgie, il n’y avait aucune différence. Pour moi, c’était normal. C’était la chose à faire. »

Au sujet de ses insécurités auprès des garçons, Ally a révélé : « C'est encore un stress. Je ne veux pas parler de game, mais il y a eu des petits accrochages ici au début avec un garçon. Ce n'était rien contre lui. C'est le fait qu'il est arrivé des choses dans mon passé avec des gens proches de moi. J'ai une grande insécurité au niveau des garçons. Encore aujourd'hui, je me fais souvent dire non, pour la simple raison que je suis trans. Même si je dis que ça ne me fait rien, ça me fait quelque chose. »

C'est peut-être pour ça qU'avec les gars je suis plus sec et crue, parce que j'ai tout le temps peur de me faire rejeter. C'est comme un système d'autodéfense qu'il faudrait que je travaille.