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Taylor Swift se retrouve bien malgré elle au cœur d’une bataille judiciaire entre Blake Lively et Justin Baldoni...
Eh oui, c’est une nouvelle qui fait grand bruit à Hollywood: Taylor Swift a été assignée à comparaître dans l’affaire judiciaire opposant sa grande amie Blake Lively à Justin Baldoni, son réalisateur et partenaire dans le film It Ends With Us.
L’affaire, déjà très médiatisée, a pris un nouveau tournant en janvier dernier lorsque le nom de Taylort Swift est apparu dans les échanges de textos révélés dans le cadre de la poursuite pour diffamation de 400 millions de dollars intentée par Baldoni contre Blake Lively et son mari, Ryan Reynolds.
Dans l’un de ces messages, Baldoni écrit à Lively:
«J’adore ce que tu as fait. Ça aide vraiment beaucoup. Ça rend tout ça bien plus amusant et intéressant. (Et j’aurais pensé la même chose même sans Ryan et Taylor 😉). Tu es vraiment talentueuse dans tous les domaines. Je suis vraiment enthousiaste et reconnaissant de faire ça avec toi.»
Ce clin d’œil à Taylor Swift a suffi pour que son nom se retrouve mêlé à l’affaire… malgré elle.
Vendredi, un porte-parole de la chanteuse a publié une déclaration officielle:
«Taylor Swift n’a jamais mis les pieds sur le plateau de ce film. Elle n’a joué aucun rôle dans les décisions de casting ou de création, n’a pas composé la musique, n’a vu aucun montage et n’a même pas visionné le film It Ends With Us avant plusieurs semaines après sa sortie en salle. Elle était en tournée mondiale en 2023 et 2024.»
La seule implication de Taylor Swift? L’autorisation d’utiliser sa chanson My Tears Ricochet dans la bande sonore, comme l’ont fait 19 autres artistes. Le porte-parole a ajouté que cette assignation n’avait d’autre but que de «générer des clics et attirer l’attention médiatique en utilisant son nom», plutôt que de se concentrer sur les faits.
De son côté, le porte-parole de Blake Lively n’a pas mâché ses mots: «Justin Baldoni et son équipe juridique continuent de transformer une affaire sérieuse de harcèlement sexuel et de représailles en divertissement de tabloïds. Ce n’est pas un cirque, c’est une procédure judiciaire. Les accusés continuent de harceler publiquement, d’intimider, de salir la réputation et de s’attaquer aux droits des femmes.»
Rappelons que Blake Lively a déposé une plainte auprès du California Civil Rights Department en décembre, affirmant avoir été victime de harcèlement sexuel et de représailles de la part de Justin Baldoni lors du tournage. Dans une plainte modifiée en février, elle ajoute que d’autres femmes auraient aussi rapporté des comportements déplacés de Baldoni sur le plateau.
L’acteur et réalisateur nie fermement toutes ces accusations.
Autre surprise dans cette affaire: Ryan Reynolds est également poursuivi par Justin Baldoni, qui l’accuse d’avoir aidé Blake Lively à «détourner» son film et à saboter sa carrière. Il affirme notamment que Reynolds, bien qu’il n’ait aucun rôle officiel dans le projet, aurait modifié secrètement le scénario et réprimandé Baldoni dans leur résidence à New York.
Baldoni va même jusqu’à suggérer que le personnage Nicepool dans Deadpool & Wolverine serait une caricature de lui-même, créée pour se moquer de lui. Les avocats de Reynolds ont répliqué en demandant son retrait du dossier, affirmant que les accusations n’ont aucun fondement juridique et relèvent simplement de «blessures d’ego».
Le procès dans cette affaire tentaculaire est prévu pour mars 2026. D’ici là, il est fort probable que de nouvelles révélations viennent encore secouer cette affaire aux allures de scénario hollywoodien!
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