Avez-vous eu la chance de regarder les 3 épisodes de la série documentaire de Luc Poirierdisponibles sur Crave au cours des derniers jours?
Dans le troisième et dernier épisode deLuc le milliardaire?, Pierre-Yves McSween va rencontrer dans un chic restaurant les enfants de Luc Poirier et d’Isabelle Gauvin, Hugo et Mégane.
Cette dernière, qui semble un peu moins timide que son frère à l’écran, admet que l’argent lui permet d’avoir tout ce dont elle a besoin comme des appareils auditifs.
Isabelle mentionne que sa fille est comme «attachée à ses appareils». «Elle trouve ça comme un privilège, elle ne voit pas ça comme un obstacle», renchérit-elle.
«Pour moi, vivre avec la surdité, c’est sûr que ça a changé beaucoup pour ma personnalité, surtout quand j’étais jeune. Mais maintenant, je ne me rends pas compte comment ça m’a affecté. Ma surdité m’a beaucoup aidée à progresser dans la vie», explique Mégane seule devant la caméra.
Le diagnostic de la surdité de Mégane a été une épreuve difficile pour ses parents: il n’y avait personne dans les familles de Luc et d’Isabelle qui vivait avec des problèmes de surdité avant l’arrivée de leur fille.
Isabelle se demandait si elle avait mal fait quelque chose pendant sa grossesse, si elle n’avait pas dû prendre l’avion par exemple.
«On a été consultés en génétique puisqu’on voulait vraiment savoir la cause», évoque Luc dans le dernier épisode de sa série documentaire.
C’est finalement un chromosome de Luc et d’Isabelle qui donne une chance sur 3 d’avoir un enfant malentendant, comme l’explique Isabelle dans l’épisode.
«Je me souviens très bien, elle pleurait souvent. Ça va me faire pleurer… Ouf, c’est ça. Elle pleurait vraiment beaucoup quand on l’a su. Elle avait peur pour l’avenir. Moi, j’essayais de la réconforter, j’essayais d’être fort. J’étais dans l’inconnu total, je ne savais pas l’avenir», se souvient Luc en parlant de sa conjointe.
Une vente de roses avec son fils qui tourne mal
Dans le troisième et dernier épisode de la série documentaire de Luc Poirier, ce dernier explique à Pierre-Yves McSween sa façon de procéder pour relever le défi que l’animateur lui a donné: faire fructifier 25 000$.
Il a acheté environ 400 bouquets de roses pour plus de 10 000$. N’étant pas disponible pour les vendre dans un centre commercial pour la Saint-Valentin, il a confié ce défi à son fils aîné, Benjamin Poirier qui est né d’une relation précédente.
Au début de sa carrière, Luc avait lui-même l’habitude de vendre des fleurs dans les entrées de bureau afin de ramasser de l’argent. Il voulait montrer à son fils comment il faisait à l’époque.
Malheureusement, au moment de la vente des roses, une tempête de neige a paralysé les routes du Québec. «Maudite tempête, ça gâche tout tout tout», a lancé Benjamin à son père au téléphone
Alors que Luc dit que son plan a bien fonctionné malgré la tempête, Benjamin affirme tout le contraire. «Ça a tellement mal fonctionné, ce qu’on a vendu, si on prend toutes les dépenses, on est dans le négatif», indique-t-il.
On peut donc croire que Benjamin a appris plusieurs choses en faisant cette vente de roses pour son père. D’ailleurs, il a déjà investi dans plusieurs immeubles sans demander de conseils à Luc.
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