Le sympathique animateur de télévision et de radio s'est confié pour l'une des rares fois sur l'homme qui partage sa vie depuis une quinzaine d'années maintenant.
C'est en entrevue avec Dave Morissette, pour La Semaine, que l'animateur s'est ouvert sur ses amours!
«J’ai un conjoint, mais je respecte son choix de rester dans l’ombre. C’est quelqu’un qui a sa vie, son travail, sa carrière, et je ne veux pas intervenir là-dedans. Ça va bientôt faire une quinzaine d’années qu’on est ensemble et ça s’est toujours bien passé. Ç’a été difficile au début, car je vivais beaucoup de bonheur grâce à lui et j’avais envie de crier son nom sur tous les toits! Avec le temps, j’ai compris qu’il n’avait pas choisi d’avoir une vie publique et que je n’allais pas lui imposer ça. Le plus beau cadeau que je peux lui faire, c’est de respecter son choix!», confie-t-il.
Il ajoute: «Avant lui, j’ai eu un autre conjoint à qui j’avais dit que 90 % de mon bonheur provenait de mon travail. Il a vite compris que ça ne lui laissait que 10 %... Aujourd’hui, j’ai arrêté de dire ça. Ce n’est plus vrai que je n’ai que 10 % pour mon conjoint. Je l’ai eu pendant un bout de temps, mais mon conjoint actuel a renversé les chiffres. C’est 90 % pour lui et 10 % pour le travail!»
Michel Jasmin a conclu l'entrevue en donnant des nouvelles sur son état de santé, lui qui souffre de terribles douleurs chroniques depuis son accident de voiture en 1973.
«Je pense que ça va bien! Mais à 78 ans, les choses arrivent quand elles doivent arriver. On fait plus attention, on fait plus de bilans de santé et on va voir les médecins plus souvent qu’avant. La vie est ainsi faite! Depuis l’âge de 49 ans, je prends des médicaments pour combattre des douleurs chroniques. Quand on est pris à devoir prendre des médicaments, on le fait, mais raisonnablement. Il faut se respecter soi-même; le médecin est là pour nous soigner et nous amener à vivre un peu mieux et un peu plus longtemps. Dans les dernières années, j’ai été hospitalisé plusieurs fois; j’ai même fait un séjour à l’hôpital de plus de cinq mois. C’est long et c’est désagréable, mais quand on n’a pas le choix, il faut le faire.»
On souhaite le meilleur pour la suite à Michel Jasmin!
