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En Vedette

Julie Drolet confirme qu’elle prépare son retour à l’écran

La journaliste, animatrice et cheffe d’antenne Julie Drolet était de passage au micro de Pénélope McQuade ce matin. Dans une touchante entrevue, elle a abordé son possible retour à la télé après avoir survécu à deux cancers. Depuis qu’elle se prépare, elle se questionne davantage sur l’image qu’elle désire projeter à l’écran. Voici ce qu’elle avait à dire.

L’annonce de son deuxième cancer difficile

En avril dernier, Julie Drolet revenait pour la première fois à Radio-Canada pour donner de ses nouvelles, à l’émission Pénélope, depuis qu’elle avait annoncé son diagnostic de cancer du sein. À ce moment, tout se passait bien. On lui donnait alors des traitements avec la chimiothérapie la plus toxique. 

Malheureusement, en juillet dernier, la populaire cheffe d’antenne a eu la mauvaise nouvelle qu’un deuxième cancer en dormance était présent dans son corps. Cette maladie n’avait rien à voir avec la première: «Je suis tombé de très haut. Cet été a été extrêmement difficile.», a-t-elle affirmé ce matin. Après de nombreux suivis, elle peut maintenant penser à un éventuel retour en ondes. Écoutez le segment ici pour connaître tout sur son état de santé.

Préoccupée par son image à la télé

Alors qu’elle pense à un éventuel retour au travail, la journaliste se pose de nombreuses questions en lien avec ses cheveux. Après la chute de ceux-ci, ces derniers repoussent actuellement bouclés et gris: «En voyez-vous des animatrices en information qui ont des cheveux blancs ou poivre et sel au Québec?», se questionne-t-elle. Elle a donc demandé l’accord de son patron pour éclairer son choix. Rassurant, il lui a mentionné être ouvert.

Plus loin dans l’entrevue, elle se rappelle ce moment dans sa carrière où on lui avait imposé de modifier son image: «Ils ont un droit de regard sur ce qu’on porte, sur le maquillage, sur les cheveux, sur la couleur. J’ai déjà des patrons qui m’ont appelée en disant que mes cheveux étaient trop foncés et que je devais les faire pâlir un peu», explique la communicatrice. 

Même si elle ressent un sentiment d’inclusion devant la réponse positive de son patron actuel, elle avoue ne pas avoir pris sa décision. S’il y a quelques semaines elle désirait se teindre les cheveux, aujourd’hui, elle se montre hésitante. Elle aimerait montrer qui nous sommes après avoir confronté la maladie. 

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