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C’est un témoignage bouleversant qu’Isabelle Desjardins a partagé sur Instagram, revenant sur sa relation et sa rupture avec l’ancien joueur de hockey David Desharnais.
Dans une série de stories publiées ce week-end, l’animatrice et chanteuse a livré, sans filtre, le récit des épreuves qu’elle dit avoir vécues depuis 2018.
Isabelle raconte avoir tout quitté pour suivre son conjoint à l’époque: son travail, sa musique, ses amis, sa famille et même ses biens matériels. Venue s’installer seule en Russie avec leur enfant, elle affirme avoir appris, seulement quelques jours après avoir confié à David qu’elle était heureuse, qu’il la trompait.
Selon ses propos, cet événement a marqué un point de rupture: « J’ai arrêté de m’aimer, arrêté de vivre. » Elle décrit des blessures profondes, à la fois psychologiques et émotionnelles, et dit avoir tenté de recoller les morceaux en ayant un autre enfant, sans succès.
Dans son témoignage, Isabelle parle d’un « cœur en miettes depuis huit ans » et affirme avoir subi des comportements contrôlants, blessants, un manque de soutien et des paroles marquantes qui l’auraient durablement affectée. Elle précise aussi qu’apprendre récemment que David Desharnais est en couple a ravivé sa douleur.
En vidéo, Isabelle s’adresse directement à la caméra et reproche à son ex de continuer à juger ses choix, même après leur séparation:
« Le pire, c’est que tu continues à juger ce que je fais, qui je vois, quel travail je fais. Qu’est-ce que je suis censée faire? Retourner dans le showbiz? Cogner aux portes des télévisions pour dire “Hey, je cherche du travail”? J’ai pu rien. Tu juges tout. Je t’ai quitté et tu continues de décider de tout. »
Elle poursuit en exprimant ses regrets pour ses enfants:
« Je suis désolée à mes enfants d’avoir des parents aussi fucked up [...] Je suis tannée de passer pour la méchante. Je pensais vraiment que c’était le bon. J’ai travaillé très fort pour essayer de rester. Mais les petites phrases assassines, ça s’accumule, pis t’es pu capable de respirer. J’avais mal dans les os. Je prenais de la morphine, mon docteur ne savait plus quoi me donner… »
Parmi ces phrases, une en particulier l’a marquée à jamais:
« J’avais vu une robe blanche dans une boutique et j’ai dit “me semble que ça serait beau pour un mariage.” Pis il a répondu: “arrête de penser à ça parce que ça t’arrivera jamais.” Pis c’est vrai que ça ne m’arrivera jamais. »
Visiblement attristée, elle interpelle directement le père de ses fils:
« Tsé David, quand je t’ai dit que je partais, t’as pas bronché. T’as pas sacré, t’as eu aucune émotion. Ça, ça fait mal aussi! »
En cette période difficile, nous sommes de tout cœur avec Isabelle et lui souhaitons de retrouver la paix et la force pour tourner cette page.