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Claudine Mercier a fait une rare apparition à la télévision, cette semaine.
L'humoriste vedette des années 90 et 2000 au Québec était invitée à l'émission La vraie nature. Celle qui évolue désormais à l'ombre des caméras a admis avoir d'abord hésité à accepter l'invitation de Jean-Philippe Dion en raison du stress. Elle est finalement heureuse d'avoir dit oui car elle a vécu un très beau moment au chalet en bonne compagnie.
Au cours de l'épisode, Claudine Mercier est revenue sur le moment où elle a senti qu'elle s'éloignait de sa vraie personnalité sur scène. La star québécoise jonglait avec le stress de performance, l'intensité du show-business et l'importance de se renouveler en humour. Voici ce qu'a confié Claudine Mercier sur cette période charnière dans sa carrière:
«C’est ben touchy savoir se renouveler sans déplaire à ton public qui te suit depuis le début. Le dernier show, j’ai essayé d’aller chercher un nouveau public, mais ce n’était pas moi pantoute. [...] À trop vouloir plaire à tout le monde, c’est là que tu te perds.»
Claudine Mercier a également parlé de son problème de confiance en soi.
L'artiste a expliqué qu'alors qu'elle remplissait des salles de spectacles et gagnait des prix, elle continuait de se «trouver pas bonne». Un manque d'estime de soi qu'elle trouve aujourd'hui regrettable.
Rappelons que Claudine Mercier a quitté la vie publique en 2018 après sa dernière tournée.
L'humoriste avait amassé suffisamment d'argent en carrière pour prendre sa retraite. On l'a toutefois revue l'été dernier au théâtre.
Claudine Mercier révèle ce qui l'a convaincue de revenir sur scène
Claudine Mercier, l'humoriste bien connue, était récemment invitée sur le plateau de Bonsoir, Bonsoir, où elle a partagé les motivations qui l'ont incitée à revenir sur scène. Son retour inattendu est lié à une série d'événements qui ont marqué sa vie ces dernières années.
Avant la pandémie, Claudine s'est malheureusement retrouvée avec les deux bras cassés, compliquant ainsi sa vie quotidienne. Cette période de convalescence a été suivie de deux ans de confinement strict, en raison de la fragilité pulmonaire de son partenaire.
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