Les raisons pour lesquelles on décide de se faire tatouer sont multiples, mais c’est souvent pour se rappeler quelqu’un ou quelque chose.
Les couples se font faire des tatouages identiques ou complémentaires pour témoigner de l’éternité de leur amour, les meilleurs amis aussi le font. Pourquoi pas les parents avec leurs enfants?
Contrairement aux amoureux, qui deviennent souvent des ex, on entend rarement parler d’ex-parents ou d’ex-enfants. L’avantage : les tatouages partagés risquent moins de se transformer un jour en d’irritants souvenirs qu’on voudra faire disparaître.
C'est peut-être la raison pour laquelle les tatouages parents-enfants sont à la hausse, si l'on en croit les pages de plus en plus nombreuses qui leur sont dédiées sur des sites comme Instagram ou Pinterest.
Les tatouages identiques ou complémentaires sont un beau signe d’attachement entre un parent et son enfant, et ceux qui le font en sont fiers.
Une preuve d'amour filial
Que ce soit des pères avec leurs filles, des mères avec leurs fils ou leurs contraires, avec des tatouages parfois inspirés et touchants, parfois d’un goût plus déplorable, toutes ces photos veulent signifier la même chose : le lien indélébile entre un parent et son enfant.
Plusieurs choisissent le noeud celtique, qui décrit bien selon eux l’éternité du lien entre un parent et son enfant. C’est le tatouage le plus populaire, avec ses noeuds sans fin qui se répètent et se superposent pour représenter les mondes physique et spirituel, et qui symbolise le cycle sans fin de la mort et de la renaissance.
Certains optent pour des mots ou des phrases qui commencent chez l’un pour se terminer chez l’autre et dont seuls, souvent, ils connaissent le code.
Certains tatouages sont aussi beaux qu'imaginatifs, comme ceux-ci d'une mère et de sa fille.
Que leur choix de tatouages se porte sur des animaux, des symboles ou des mots, la plupart des parents et enfants qui partagent leurs tatouages mentionnent que le processus a créé de nouveaux liens entre eux.
On peut comprendre pourquoi.
Le feriez-vous? Ou l’avez-vous déjà fait?
(Source)
(Photos : iconosquare)