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Le mari d’Andrée Boucher aborde le sujet tabou de l’aide médicale à mourir
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On apprenait il y a un peu moins d’une semaine que la comédienne Andrée Boucher n’est pas décédée de cause naturelle, mais qu’elle s’est plutôt enlevée la vie.
En entrevue avec le magazine Écho Vedette, son mari Jean-Pierre Bélanger s’est d’ailleurs confié sur cette difficile épreuve et les derniers moments de sa douce.
Il a tenu à aborder le sujet encore tabou de l’aide médicale à mourir. Il a confié :
« Ça a traîné. Elle avait demandé l’aide médicale à mourir un an auparavant, et elle l’a redemandée deux semaines avant sa mort. Comme elle ne voyait pas ce qu’on allait faire d’elle, elle a pris sa décision. »
Le veuf a expliqué que durant ces derniers jours de vie, elle se refermait sur elle-même, elle qui n’avait plus que 30 % de ses capacités physiques.
Quoiqu’il soit habité d’une grande tristesse d’avoir perdu sa partenaire, Jean-Pierre Bélanger espère que la mort de sa femme fasse évoluer l’accessibilité à l’aide médicale à mourir.
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